La couverture vaccinale contre la grippe chez les personnes diabétiques de moins de 65 ans est insuffisante. Elle est pourtant fortement recommandée par l’OMS, la Haute autorité de santé et diverses associations savantes.

Il est prouvé que les complications liées aux infections ont un retentissement majeur sur l’espérance de vie et la qualité de vie des personnes vivant avec un diabète. La vaccination qui pourrait prévenir ces infections est insuffisamment adoptée.

Le risque de décès de cause infectieuse est multiplié par 8 en cas de diabète.

Mais quel rapport avec la grippe ? C’est simple, chez les diabétiques, une grippe peut entrainer une surinfection par pneumocoque car leur système immunitaire est plus faible. De plus, certains germes se développent plus facilement dans un milieu riche en glucose.

Enfin, sachez que si vous êtes diabétique, vous êtes prioritaire et le vaccin est pris en charge à 100%.

Parlez-en avec votre pharmacien, en tant que professionnel de santé, il saura vous donner tous les conseils indispensables pour mieux vous accompagner dans cette démarche.

Une récompense de plus pour Withings !

Les lecteurs du site  Les Numériques ont décerné le premier prix à la montre ScanWatch 2 de Withings, qu’ils considèrent comme “l'un des systèmes de suivi de santé les plus performants du marché“. Dotée de nombreux capteurs ainsi que du module exclusif TempTech24/7, ScanWatch 2 est capable de surveiller votre corps de jour comme de nuit. De plus, son autonomie exceptionnelle de trente jours la distingue de la plupart de ses concurrentes.

Depuis quelques mois, les produits Withings sont distribués en pharmacie, face à une telle reconnaissance, nul doute que les ventes devraient connaître une jolie progression. Les produits Withings sont de véritables dispositifs médicaux qui nécessitent des connaissances médicales pour pouvoir les exploiter à fond. Un rôle qui devrait pleinement correspondre aux attentes des professionnels de santé que sont les pharmaciens. Plus en tout cas que qu’a celui des vendeurs de produits électro-ménagers. Logique non ?

Je m’appelle Julien, j’ai 31 ans et je travaille dans le commerce de détail depuis près de 10 ans, autant dire depuis toujours car j’y suis rentré dès la fin de mes études.

Mon job consiste, le matin à déballer la marchandise et mettre les nouvelles pièces en rayon. Ensuite, je conseille la clientèle et fait mon boulot de vendeur que j’adore par ailleurs. Si je ne compte pas ma pause déjeuner, je suis debout quasiment toute la journée et je piétine. 

Quel que soit l’âge, les troubles musculo-squelettiques sont assez fréquents dans ma profession

Depuis plus de 5 ans, les douleurs au dos et aux articulations font presque partie de ma routine quotidienne. J’ai consulté différents médecins qui m’ont expliqué que porter des charges parfois lourdes, rester debout de longues heures ou faire des mouvements répétitifs provoquaient souvent des troubles musculo-squelettiques (TMS), surtout au niveau des genoux, des hanches et du bas du dos. C’est paraît-il assez classique dans mon métier. Un des médecins m’a prescrit des séances de kiné, c’est efficace un certain temps mais les douleurs reviennent toujours assez vite.

Mon kiné est devenu mon meilleur ami !

Il y a quelques mois, sur les conseils de mon kiné qui m’a parlé de la solution Vistapod présente en pharmacie, j’ai décidé de me faire faire des semelles orthopédiques adaptées à ma posture et à mes besoins. Après une prescription médicale, je me suis lancé en poussant la porte d’une pharmacie Vistapod. Je n’avais pas grand chose à perdre car dans mon cas, les semelles sont prises en charge par la sécu car les TMS sont sont considérés comme une maladie professionnelle. Honnêtement, je ne pensais pas que ça changerait grand-chose, mais je suis agréablement surpris. Après quelques semaines d’utilisation, j’ai remarqué une nette diminution de mes douleurs. Les semelles absorbent mieux les chocs et corrigent ma posture, ce qui réduit la pression sur mes articulations.

Même si de temps à autre une petite douleur se ressent, cela n’a rien à voir avec ce que je vivais avant

Aujourd’hui, je me sens plus à l’aise dans mes mouvements et mes journées sont beaucoup moins fatigantes. Je peux me concentrer davantage sur mon travail sans être distrait par les douleurs. Bien sûr, il y a encore des jours où je ressens de la fatigue musculaire, mais les douleurs chroniques sont bien moins fréquentes. Les semelles orthopédiques ont vraiment amélioré mon quotidien. Je ne sais pas trop combien de temps dureront leur effet mais une chose est certaine, si les douleurs redeviennent chroniques, je foncera chez mon pharmacien afin de refaire un test podométrique. D’autant plus que c’est gratuit…

Julien

Le taux de sucre, on connaît, il suffit de lire l’étiquette. Les choses se compliquent quand on évoque l’indice glycémique. Tâchons d’y voir plus clair

Il a peu, les nutritionnistes classaient les aliments en deux grandes catégories : ceux contenant des sucres complexes (aussi nommés sucres lents) et ceux contenant des sucres simples (aussi nommés sucres rapides). Aujourd’hui, ils préfèrent classer les aliments en fonction de leur indice glycémique (IG). Ce n’est pas si bête à condition d’en comprendre le principe.

En fait, l'index glycémique correspond au pouvoir sucrant des aliments. Prenons le sucre par exemple, comme on l’imagine, il a pouvoir sucrant très élevé (IG de 100). Après absorption, son pouvoir sucrant va faire augmenter très rapidement la glycémie qui pour rappel est le taux de sucre dans le sang. A contrario, le pain complet avec son indice glycémique de 49 agira très lentement la glycémie. C'est cette évolution de la glycémie qui va permettre de définir l'index glycémique des aliments.

Pour une personne diabétique, cette information est primordiale car ce sont les glucides qui entrainent la sécrétion d’insuline et chez eux, il est vivement recommandé d’éviter les pics de sécrétion de cette hormone. C’est pourquoi il est important de privilégier les aliments à faible IG.

Cependant, les choses se compliquent car notre métabolisme a également besoin de temps à autre de sucres rapides (aliments à fort IG). Il ne faut donc en aucun cas les bannir mais seulement ne pas en abuser.

Bien connu des gourmands pour ses pâtisseries à IG bas, Alixe Bornon, une jeune femme diabétique de type 1 depuis l'âge de 13 ans a décidé partage ses secrets sous la forme d’un livre de recettes à indice glycémique bas.

Le livre 52 plaisirs sucrés à indice glycémique bas d’Alixe Bornon est disponible dans certaines pharmacies ainsi que sur Rakuten et Amazon.

Saviez-vous que la gestion du sommeil est également un élément important dans le contrôle de la glycémie ?

Au risque d’enfoncer des portes ouvertes, le sommeil est un des moments où votre corps se repose et se « répare ». Pendant le sommeil, votre cerveau stocke des souvenirs, vos muscles se régénèrent, votre fréquence cardiaque diminue et votre tension artérielle chute. Ces derniers points sont particulièrement importants si vous souffrez de diabète de type 2, car vous avez deux fois plus de risques d’avoir des problèmes cardiovasculaires. Le sommeil est également essentiel pour la régulation hormonale (l'insuline est une hormone). De mauvaise qualité, il renforce la résistance à l’insuline notamment.

Plusieurs études ont montré est que la durée idéale de sommeil pour une personne diabétique ou prédiabétique est de 7 heures par tranche de 24h. En effet, dormir moins de 5 heures et plus de 8 est généralement mauvais pour la glycémie. On n’explique pas encore très bien pourquoi dormir trop n’est pas bon. En revanche, on sait que dormir peu entraine des changements hormonaux qui influent sur la glycémie.

La relation entre le sommeil et la glycémie va également dans l'autre sens. Lorsque cette dernière est plus élevée que la normale, vous urinez plus souvent. Cela peut vous réveiller et nuire à votre sommeil. C’est donc une spirale infernale !

Voici quelques astuces pour améliorer votre sommeil :

• Fixez une heure de coucher et de réveil.
• Surtout pas d’écran au moins 30 min avant de vous coucher. La lumière bleue a un effet sur la mélatonine, une hormone nécessaire pour s’endormir.
• Essayez de gardez votre chambre sombre et fraîche.
• Trouvez une routine de relaxation avant de dormir (lecture, douche chaude, soin de la peau, podcast, musique douce…).
• Évitez l’alcool au moins 3h avant le coucher et bien entendu la caféine au moins 6h avant.
• Dinez léger le plus souvent possible.

Pas simple de suivre ces conseils. Le numérique peut vous aider notamment les produits développés par la marque Withings disponibles dans certaines pharmacies. Parmi eux, le Sleep Analyser, le premier capteur de sommeil sous le matelas au monde avec des fonctionnalités révolutionnaires : détection de l'apnée du sommeil à domicile, analyse du sommeil et suivi de la fréquence cardiaque. Parlez-en à votre pharmacien, il pourrait vous faire une démonstration.

Maux de dos : les principales raisons

Stress sur la colonne vertébrale

Une mauvaise posture peut entraîner un mauvais alignement de la colonne vertébrale. Cela peut ajouter un stress excessif sur les disques intervertébraux, les articulations et les ligaments de la colonne vertébrale, sources de douleurs dorsales.

Déséquilibre musculaire

Une posture incorrecte peut entraîner un déséquilibre musculaire. Certains muscles peuvent devenir trop tendus et d'autres trop faibles. A la clef, une tension musculaire et des douleurs dans le dos.

Compression des nerfs

Une mauvaise posture peut comprimer les nerfs de la colonne vertébrale, provoquant des douleurs irradiant le long des nerfs comprimés. Par exemple, une compression du nerf sciatique peut provoquer des douleurs dans le bas du dos qui irradient vers la jambe.

Altération de la circulation sanguine

Une posture incorrecte peut comprimer les vaisseaux sanguins, limitant ainsi l'apport sanguin vers certaines parties du dos. Cela peut entraîner des douleurs et des sensations de picotement dans la région touchée.

Affaiblissement des muscles de maintien

En adoptant une mauvaise posture pendant de longues périodes, les muscles qui maintiennent naturellement la colonne vertébrale dans une position neutre peuvent s'affaiblir. Cela peut rendre la colonne vertébrale plus vulnérable aux blessures et aux douleurs.

Surcharge des articulations

Une mauvaise posture peut entraîner une surcharge des articulations, en particulier dans la région du bas du dos. Cela peut provoquer des douleurs articulaires et augmenter le risque de développer des conditions telles que l'arthrose.

L'utilisation de semelles orthopédiques peut être bénéfique dans certains cas. Ces semelles correctrices peuvent aider à corriger les déséquilibres des pieds et à améliorer la posture en redistribuant le poids corporel de manière plus équilibrée.

Pourquoi sont-elles efficaces ?

Soutien de la voûte plantaire

Les semelles orthopédiques peuvent offrir un soutien supplémentaire à l'arche du pied, ce qui peut aider à aligner correctement le corps, y compris la colonne vertébrale.

Correction des déséquilibres

Certaines personnes ont des longueurs des jambes différentes. Souvent minimes, cette différence déséquilibre la posture. Les semelles peuvent être conçues pour compenser ces variations.

Réduction de la pression

Les semelles peuvent aider à répartir la pression de manière plus uniforme sur les pieds. Lors de la marche, elles réduisent la pression sur les genoux, les hanches et la colonne vertébrale.

Amélioration de l'alignement

Une bonne posture commence à partir du sol. Des semelles correctrices peuvent contribuer à aligner correctement les pieds, chevilles, genoux, hanches et colonne vertébrale, ce qui peut réduire les douleurs dorsales.