Le mode grossesse permet aux femmes enceintes de suivre leur grossesse sur leur pèse-personne en plus des mises à jour hebdomadaires de la progression dans l'application. Lorsque vous vous pesez, une icône apparaît sur votre pèse-personne à côté de votre nom d'utilisateur, indiquant que le mode grossesse a été activé.

Le pèse-personne tient désormais compte de votre gain de poids total pour la semaine en cours à chaque pesée. L'écran affiche la prise de poids totale pour la semaine en cours et indique si la prise de poids est inférieure à la moyenne, normale ou supérieure à la moyenne pour des utilisateurs de poids similaires, sur la base de directives internationales. En résumé, ce suivi hebdomadaire permet de connaitre la prise de poids totale et comment votre courbe se situe par rapport aux recommandations. Il s’appuie donc sur des statistiques, ce n’est qu’un indicateur. Il ne remplace en rien les visites régulières chez un professionnel de santé.

Comment ça marche ?
C’est très simple, il suffit de saisir la date prévue d’accouchement. Si vous ne connaissez pas votre date d'accouchement, l'application l'estimera à l'aide de l'une des deux données suivantes : la date de vos dernières règles ou la date de conception.
Il vous faudra ensuite entrer votre poids avant la grossesse.
C’est tout, les algorithmes feront ensuite tous les calculs nécessaires et les résultats apparaitront directement sur l’écran.

Une masse cornée, ou callosité, est un épaississement de la peau qui se développe en réponse à une pression ou à un frottement répété sur une zone du pied. Ces zones épaissies, souvent dures et sèches, se forment pour protéger la peau des dommages. Bien que les callosités puissent se développer n'importe où sur le corps, elles sont particulièrement courantes sur les pieds en raison de la pression exercée lors de la marche ou du port de chaussures.
Pour prévenir la formation des masses cornées, également appelées callosités, au niveau des pieds, il est important de prendre soin de la peau et de réduire les facteurs de pression ou de frottement. Voici quelques conseils pratiques pour y parvenir :

Prévenir la formation de masses cornées (callosités) sur les pieds est important pour plusieurs raisons :

• Les callosités peuvent devenir épaisses et dures, entraînant une pression accrue sur les nerfs sous-jacents, ce qui peut causer de la douleur. Cette douleur peut rendre la marche ou la position debout inconfortable.
• Si les callosités ne sont pas traitées, elles peuvent se fissurer, ouvrant la porte aux infections. Cela est particulièrement préoccupant pour les personnes atteintes de diabète, car elles sont plus sujettes aux infections du pied qui peuvent mener à des complications graves, y compris l'amputation dans les cas extrêmes.
• Les masses cornées modifient la répartition du poids sur le pied, ce qui peut entraîner des déséquilibres dans la posture et la démarche. Cela peut provoquer des douleurs dans d'autres parties du corps, comme les genoux, les hanches ou le dos.
• Les callosités, en s’épaississant, peuvent diminuer la sensibilité des pieds. Cela peut être problématique, en particulier pour les personnes âgées ou celles souffrant de neuropathie, qui pourraient ne pas ressentir une blessure ou une infection naissante.

Pour prévenir la formation des masses cornées, également appelées callosités, au niveau des pieds, il est important de prendre soin de la peau et de réduire les facteurs de pression ou de frottement.

Voici quelques conseils pratiques :

• Portez des chaussures et des semelles appropriées

• Assurez-vous que vos chaussures ne sont ni trop serrées ni trop larges. Elles doivent offrir un bon soutien et une répartition uniforme de la pression sur tout le pied.

• Des semelles orthopédiques peuvent aider à corriger la posture et à réduire les zones de frottement.

• Hydratez vos pieds régulièrement

• Appliquez quotidiennement une crème hydratante spécifique pour les pieds, notamment sur les zones sujettes aux callosités, comme les talons ou les coussinets plantaires.

Tous sont bons ! Mais attention, il est important de bien choisir en fonction de votre niveau de forme, votre âge, vos objectifs…

On distingue, trois catégories.

• Les exercices cardio. Tout ce qui va stimuler votre cœur et augmenter votre circulation sanguine peut être classé comme des exercices cardio. La danse, la course ou la natation en sont quelques exemples. Les exercices cardio sont parfaits pour les personnes atteintes de diabète car ils leur permettent de contrôler leur taux de sucre dans le sang.

• Les exercices de souplesse. Ce sont simplement des exercices d'étirement comme le yoga. Ils sont parfaits pour gagner en souplesse. Allez-y et étirez-vous à intervalles réguliers pendant votre journée !

• Les entraînements musculaires. L'entraînement musculaire non seulement renforce les muscles, mais permet également d'utiliser plus de calories et schématiquement de transformer le sucre en muscles. Si vous le sentez, ajoutez quelques poids ou utilisez des bandes de résistance pendant l'exercice !

Les exercices font travailler les muscles, plus vous les pratiquer, plus vos muscles travaillent dur. De plus, le sucre est stocké dans les muscles. Lorsqu'il n'y a pas suffisamment de sucre dans les muscles, le corps utilise le sucre du sang. Par conséquent, il est bon de bouger car cela vous permet de brûler des calories et de réduire votre taux de sucre sanguin, et ainsi d’éviter les complications du diabète.

Enfin, l'activité physique utilise comme principal carburant le sucre contenu dans les muscles et le sang. Ainsi, la quantité d'insuline nécessaire pour déplacer le sucre du sang vers le muscle sera réduite. Si vous avez un traitement qui comprend de l'insuline, l'exercice physique pourra réduire la quantité d'insuline que vous devez vous administrer.

Pour un cocktail gagnant :

• Déterminez votre niveau de forme physique
• Surveillance de votre glycémie
• Création d'un programme d'exercices
• Se fixer des objectifs réalistes
• Apporter les changements nécessaires à votre alimentation

Vous verrez, le plus dur est de s’y mettre, le plaisir vient très rapidement ensuite.

Votre santé nerveuse vous rend nerveux ? Si c’est le cas, vous avez peut-être senti votre cœur battre un peu plus vite, vos paumes transpirer, ou une sorte d’anxiété générale. Mais vous l’avez peut-être aussi deviné, ces réactions sont causées par votre système nerveux. C’est sans doute le système le plus complexe de votre corps. Il travaille en continu pour assimiler et donner un sens aux images, aux sons, aux goûts, aux textures, aux pensées et aux émotions que vous vivez.

Au quotidien, vous pouvez être attentif aux sensations de picotement, de brûlure, de faiblesse ou de douleur générale. Il peut s’agir de signes indicateurs d’une neuropathie périphérique autonome. Ce problème de santé est causé par une lésion des nerfs qui s’étendent jusqu’aux mains et aux pieds. Ces nerfs sont impliqués dans les fonctions autonomes (involontaires) de votre corps.

La neuropathie périphérique autonome peut être causée par de nombreux facteurs comme le diabète, une infection, une blessure ou une maladie auto-immune. On estime qu’environ 2,4 % de la population mondiale soufre d’une forme de lésion nerveuse, ce chiffre atteignant environ 8 % chez les personnes âgées. Mais le pourcentage réel pourraient être bien plus élevé car peu de tests approfondis sont disponibles. Le diabète est la principale cause de neuropathie périphérique : environ 50 % des personnes diagnostiquées comme diabétiques développeront cette affection

Actuellement, les options disponibles pour surveiller votre fonction nerveuse à domicile sont limitées. C’est là qu’intervient Withings Body Scan : la technologie dont dispose cette balance connectée permet d’obtenir un aperçu de votre santé comme jamais auparavant. Lorsque vous montez sur votre balance, des électrodes laissent passer un courant indolore à travers la plante de vos pieds et mesurent la réponse de vos nerfs à cette stimulation. Pour être exact, ces électrodes mesurent la réponse des glandes sudoripares de vos pieds. Ces informations sont évaluées et servent à déterminer votre score de santé nerveuse. Vous pouvez utiliser ce score pour identifier les changements dans votre fonction nerveuse, apporter les ajustements nécessaires à votre mode de vie et accéder à une meilleure compréhension de votre état de santé.

Claire, 38 ans (Amiens)

Après plusieurs années sans pratiquer d'activité physique régulière et des vacances un peu trop gastronomiques, j'ai décidé de reprendre le sport dès la rentrée pour me remettre en forme. J'avais envie de retrouver une meilleure énergie et de perdre quelques kilos superflus. J'ai commencé doucement avec de la marche rapide, puis j'ai enchaîné avec des séances de course à pied.

Au début, tout se passait bien, mais après quelques semaines, j'ai commencé à ressentir des douleurs aux pieds, surtout après mes séances de course. C'était comme une douleur sourde sous la voûte plantaire et parfois même dans les talons. J'ai d'abord pensé que c'était normal, que mon corps devait simplement s'habituer à l'effort. Mais les douleurs ont persisté, et ça a même commencé à me gêner dans ma vie quotidienne.

Un matin, je me suis réveillée avec des douleurs particulièrement intenses. C'est là que j'ai compris que je ne pouvais pas ignorer ce problème. J'ai décidé d’en parler à mon pharmacien car je savais qu’il faisait des semelles sur mesure. Après avoir testé ma posture sur la plateforme Vistapod, il m'a expliqué en me montrant les résultats que mes pieds n'étaient pas bien alignés et que cela créait des tensions lors de mes séances de sport. Il m'a proposé des semelles orthopédiques adaptées à ma morphologie et à mon activité sportive.

Depuis que je porte ces semelles, j'ai vraiment senti une différence. Les douleurs ont quasiment disparu et je peux continuer à m'entraîner sans crainte de me blesser. Reprendre le sport est une belle aventure, mais je me rends compte maintenant que c'est important de bien écouter son corps et de ne pas hésiter à consulter des professionnels en cas de doute.

Le sucre peut perturber le microbiome intestinal, qui est l'ensemble des bactéries et autres micro-organismes vivant dans notre intestin. Un microbiome équilibré est essentiel pour la digestion, le système immunitaire, et même la santé mentale.

Une consommation excessive de sucre favorise la croissance de bactéries et de levures pathogènes, comme les Clostridiumet Candida albicans, qui peuvent provoquer des troubles digestifs, des infections, et d'autres problèmes de santé. Le sucre peut aussi altérer la diversité des espèces bactériennes dans l'intestin, ce qui est associé à divers problèmes de santé, y compris l'obésité, les maladies métaboliques comme le diabète et les troubles de l'humeur.

Quelles conséquences pour la santé ?

• Ballonnements, diarrhée ou constipation peuvent résulter d'un microbiome déséquilibré.
• Un microbiome déséquilibré peut influencer la façon dont le corps stocke la graisse et régule la glycémie.
• Un microbiome perturbé peut compromettre la réponse immunitaire, rendant le corps plus susceptible aux infections.
• Il y a une connexion entre le microbiome intestinal et le cerveau (axe intestin-cerveau), et un déséquilibre peut contribuer à l'anxiété, la dépression et d'autres troubles de l'humeur.

Quelques conseils pour préserver un microbiome sain

• Réduisez les aliments transformés, les boissons sucrées et les collations sucrées.
• Manger des fibres  car elles nourrissent les bonnes bactéries de l'intestin. Les fruits, légumes, légumineuses et grains entiers sont de bonnes sources.
• Consommer des probiotiques et prébiotiques. Les probiotiques (comme les yaourts, les kéfirs, et les aliments fermentés) et les prébiotiques (comme l'ail, les oignons, et les bananes) aident à maintenir un microbiome équilibré.
• Éviter les antibiotiques inutiles car ils peuvent tuer les bonnes bactéries, alors il est préférable de les utiliser uniquement lorsqu'ils sont vraiment nécessaires.

Les probiotiques existent également sous la forme de compléments alimentaires. Ils ne sont pas inintéressants en cas de maladies chroniques comme le diabète ou après un traitement antibiotique. Le problème est que nous avons tous un microbiote différent et ce qui fonctionne chez les uns n’est pas forcément le cas chez les autres. Une chose est certaine, il vous faudra choisir un complément contenant entre 40 ou 80 milliards de bactéries… Votre pharmacien pour vous conseiller à choisir un de ces produits ensuite, il faudra le tester et observer. Si rien de change au bout d’un mois, il faudra choisir un autre complément qui, espérons-le, sera adapté à votre microbiote.