Oui, il est possible de porter des semelles pieds nus, mais il y a quelques points à considérer pour s'assurer qu’elles seront cela confortables et surtout hygiéniques.
Certaines semelles sont conçues pour être portées pieds nus. C’est le cas de celles de la marque Vistapod. Elles sont fabriquées à partir de matériaux doux, respirants et hypoallergéniques pour éviter les irritations et les réactions allergiques.
Pensez à les nettoyer plus souvent
En termes d’hygiène, il faut avoir que porter des semelles pieds nus peut entraîner une accumulation de sueur et de bactéries, ce qui peut provoquer des odeurs désagréables ou des infections fongiques. Il est important de nettoyer régulièrement les semelles au savon doux et de les laisser sécher complètement avant de les remettre dans vos chaussures.
Pour ne pas perdre en confort, assurez-vous que les semelles sont bien ajustées et qu'elles n'ont pas de bords rugueux qui pourraient irriter la peau. Les semelles orthopédiques ou de soutien doivent être spécifiquement adaptées à vos pieds pour garantir un confort optimal. Ce sera le cas si vous avez opté pour des semelles sur-mesure.
Certaines semelles sont mieux adaptées
Enfin, certaines semelles sont mieux adaptées à un usage pieds nus, comme celles destinées aux chaussures de sport ou aux sandales. Pour d'autres types de chaussures, il peut être plus approprié de porter des chaussettes fines pour éviter les frottements et améliorer l'hygiène.
En conclusion, rien de s’oppose à porter des semelles pieds nus, il est cependant crucial de choisir les bonnes semelles et de maintenir une bonne hygiène pour éviter les problèmes de confort et de santé.
Des chercheurs de Chicago (États-Unis) ont cherché à savoir si la lumière nocturne pouvait avoir un effet sur la glycémie mais également sur l’obésité et l’hypertension chez les personnes âgées.
Ils ont ainsi équipé durant 7 jours 552 personnes dont l’âge était compris entre 63 et 84 ans d’un petit appareil porté au poignet capable de mesurer l’intensité lumineuse de la pièce où ils dorment.
Les enquêteurs de l'étude ont été surpris de constater que seulement moins de la moitié des 552 participants à l'étude connaissait une période d’au moins 5 heures de véritable obscurité. Les autres, étaient toujours exposés à « un peu de lumière » y compris durant la nuit. Ils ont également constaté que ces derniers étaient plus susceptibles d'être obèses et de souffrir d'hypertension artérielle et de diabète par rapport aux autres.
Pour le moment, les chercheurs ne savent pas si l'obésité, le diabète et l'hypertension amènent les gens à dormir avec une lumière allumée, ou si la lumière a contribué au développement de ces maladies. De plus, certaines personnes peuvent se lever la nuit et allumer la lumière pour aller aux toilettes. D’autres, souffrant d'engourdissement des pieds à cause du diabète peuvent vouloir garder une veilleuse allumée pour réduire le risque de chute. Il n’est donc pas toujours simple de passer 5 heures dans le noir complet.
« Il est important que les gens évitent ou minimisent la quantité d'exposition à la lumière pendant le sommeil » ont déclaré les instigateurs de l'étude.
En attendant, ils proposent des gestes simples pour réduire la lumière pendant le sommeil :
« J’ai beau faire du sport, je ne perds pas de poids » Cette phrase, les pharmaciens l’entendent bien souvent et l’explication est très simple : en faisant du sport, vous augmentez votre masse musculaire et diminuez votre masse graisseuse. Or, le gras est bien moins lourd que le muscle. Voilà pourquoi, il n’est pas anormal de ne pas perdre de poids malgré la pratique intensive d’un sport. Pire, parfois on en gagne ! Pas de panique, ce sont de bons kilos !
Mais comment le savoir si l’activité physique a un impact positif sur votre poids ?
Les balances connectées sont des outils modernes qui permettent de mesurer divers paramètres de la composition corporelle, notamment la masse grasse et la masse musculaire. La plupart des balances connectées utilisent la technologie de bioimpédance électrique (BIA) pour estimer la composition corporelle. Un faible courant électrique est envoyé à travers le corps, et la résistance du tissu corporel au passage de ce courant est mesurée. Les différents types de tissus (graisse, muscle, eau) ont des résistances différentes, permettant à la balance de calculer la proportion de chacun.
La balance donne un pourcentage de graisse corporelle, qui est la proportion de votre poids total composée de graisse. La balance estime également la proportion de votre poids total composée de muscles.
Le suivi de la composition corporelle permet de suivre les changements dans la masse grasse et la masse musculaire au fil du temps, ce qui peut être motivant et informatif pour ceux qui cherchent à perdre du poids, à gagner du muscle ou à améliorer leur santé générale. Cela aide également à définir et à atteindre des objectifs de fitness basés sur des données réelles. Enfin ce type d’informations fournit une vue plus complète de la santé et de la condition physique que le poids seul.
En utilisant une balance connectée de manière cohérente et informée, vous pouvez obtenir des données précieuses sur votre composition corporelle et progresser vers vos objectifs de santé et de fitness. Voici deux êtits conseils pour bien utiliser votrre balance connectée :
Ca ira mieux demain ! C’est assez fréquemment ce que l’on pense lorsqu’après une journée active, on ressent une douleur aux chevilles. Pourtant, il pourrait bien s’agir d’un début de tendinite. Cette dernière est en effet assez fréquente. Dans les faits, c’est une inflammation des tendons de la cheville.
Les semelles orthopédiques peuvent être un outil efficace pour gérer et traiter la tendinite de la cheville.
En suivant ces recommandations, il est possible de gérer efficacement la tendinite de la cheville et de réduire le risque de récidive.
Les émulsifiants sont parmi les additifs les plus fréquemment utilisés par l’industrie agroalimentaire. Leur usage vise à améliorer la texture des produits tout en prolongeant leur durée de conservation. Des chercheurs et des chercheuses de l’Inserm, d’INRAE, de l’Université Sorbonne Paris Nord, de l’université Paris Cité et du Cnam, regroupés au sein de l’Équipe de recherche en épidémiologie nutritionnelle (Eren-Cress), ont entrepris d’étudier les possibles liens entre les habitudes d’apports alimentaires en additifs émulsifiants et la survenue de diabète de type 2 entre 2009 et 2023.
Ils ont analysé les données de santé de 104 139 adultes participant à l’étude de cohorte française NutriNet-Santé, en évaluant spécifiquement leur consommation de ce type d’additifs grâce à des enquêtes alimentaires tous les 6 mois. Les résultats de cette recherche suggèrent une association entre l’ingestion chronique de certains additifs émulsifiants et un risque accru de diabète. Ils sont publiés dans la revue Lancet Diabetes & Endocrinology.
Après un suivi moyen de 7 ans, les chercheurs ont observé que l’exposition chronique – évaluée par des données répétées – aux émulsifiants suivants était associée à un risque accru de diabète de type 2 :
En conclusion, lisez bien les étiquettes des produits que vous achetez et, dans la mesure du possible, évitez ceux contenant ces additifs. En règle générale, méfiez-vous de tous les produits ultra transformés. On ne le répétera jamais assez…
Plusieurs études montrent qu’un indice de masse corporelle (IMC) élevé est un facteur de risques majeur de développer un diabète. Pour rappel, l’IMC est un indicateur qui se calcule en divisant le poids par la taille au carré (taille en mètre).
On sait depuis déjà longtemps qu’un IMC supérieur à 30 kg/m2 (30 est l’indice à partir duquel la personne est considérée comme obèse) favorise l’apparition du diabète de type 2. On sait également que le facteur génétique joue un rôle non neutre dans le développement de la maladie. A partir de là, des chercheurs de l'Université de Cambridge au Royaume-Uni, et de l'Université de Milan en Italie ont mené une étude pour savoir si la combinaison du risque héréditaire avec l'IMC pourrait identifier les personnes les plus à risque de développer un diabète de type 2.
« Parce que nous sommes nés avec nos gènes, il pourrait être possible d'identifier tôt dans la vie les personnes qui ont de fortes chances de développer un diabète au cours de leur vie. Les efforts de prévention pourraient alors se concentrer sur celles-ci », explique le chercheur principal de l'étude. Les résultats ont montré que les personnes du groupe ayant un IMC le plus élevé (en moyenne 34,5kg/m²) avaient un risque de diabète 11 fois plus élevé que les participants du groupe ayant un IMC le plus bas (21,7kg/m² en moyenne). Par ailleurs, le groupe de participants dont d'IMC était le plus élevé avait une plus grande probabilité de développer un diabète de type 2 que tous les autres groupes d'IMC, quel que soit le risque génétique.
On peut donc en conclure que l'IMC est un facteur de risque beaucoup plus puissant pour le diabète que la prédisposition génétique.
Vous voulez de l’aide pour calculer votre IMC ? La grande majorité des balances connectées le propose. Rien de bien compliqué puisqu’il suffit juste de monter dessus… Certaines pharmacies en distribuent, c’est notamment le cas de celles de la marque Withings, reconnue internationalement pour son excellence. Les modèles d’entrée de gamme ont des tarifs particulièrement attractifs, les fonctions sont nombreuses et parmi celles-ci, le calcul de l’IMC.
Venez voir votre pharmacien, il pourra vous en faire la démonstration.